C'est comment quand on meurt ?

1ère partie :

Quand on est petit, parce-que quand je suis mort il y a trois jours, j'étais petit, et je le suis encore... Enfin, ce que je voulais dire, c'est que quand on est petit, on ne se pose pas de questions d'adultes, comme : "Qu'est-ce que la vie? C'est comment quand on meurt?" Eh bien, c'est dommage, parce-que quand on meure à cinq ans, ob aimerait bien savoir ce que c'est la vie... Pour la mort, je suis bien placé pour le savoir, c'est très simple : On croit qu'on va s'envoler dans les airs, et puis finalement, on s'étale par terre, et ça fait très mal à l'arrière du crâne ; la douleur ne dure pas longtemps, quelques secondes à peine. Après c'est très bizarre, parce-qu'on se relève ; et moi j'ai cru que ma maman allait me serrer dans ses bras, parce-que j'avais eu très mal... Mais non.

A ce moment là, j'ai vu mon corps étendu par terre avec du sang qui coulait de ma tête. "C'était pas beau!" Je ne savais pas vraiment ce que je devais faire, rester là, ou partir. Quand je me suis enfin décidé à faire un geste, je me suis senti tout léger, et mes pieds se sont décollés du sol, pour atterrir sur un petit nuage tout blanc, et très confortable. Il y avait juste assez de place pour que je puisse m'asseoir, je n'avais qu'à dire où je voulais aller, pour que le petit nuage tout blanc y aille, c'était très drôle, comme quand j'avais été à Disney avec mon papi, et qu'on volait au dessus de Londres comme Peter Pan. Voilà, c'est comme ça quand on meurt, on arrive sur un petit nuage tout blanc.

Tout cela avait beau être rigolo, ce que je vis après le fut beaucoup moins : Kathy paniquait, elle ne savait plus comment faire, je la voyait téléphoner à ma maman avac son portable. Deux minutes plus tard, maman était là. Elle me regardait, étendu sur le sol avec du sans plein la tête... Elle pleurait beaucoup. J'étais triste de la voir comme ça, je voulait lui dire que ce n'était pas si grave, qu'il y avait toujours Inès, ma grande soeur, mais elle n'avait pas l'air de penser à cette consolation, elle était tellement triste ! Je ne pus voir la suite du choc que ma chute avait provoqué, car le petit nuage tout blanc semblait aspiré vers le ciel, et moi avec.

Oh Bah tiens!
Je croyais que j'avais répondu quelque chose! Mais on dirait que non! Donc!
Je te redis ce que je t'ai dis sur MSN!
OOOOOOoooooooh! Ohhhhhh mon dieu! C'est mignon!

Et c'est vrai que c'est mignon! J'ai envie de le prendre dans mes bras, le ptit bonhomme!!

je l'ai déjà lue celle là, mais j'avais oublié qu'elle était de toi tien...

A quand la Deuxieme partie?!

Je vous jure que si vous abandonnez CE forum-la, Je continuerai toute seule!
J'en suis capable!
Je me parlerai a moi-meme! Et je me marrerai avec moi-meme

Si si, elle est bien de moi, mais elle date de la seconde.
La deuxième partie pour très bientôt j'espère mais là tout de suite, j'ai pas le temps de la taper, désolé...

I see I see!
You're busy!

Moi aussi, je suis occupée! Faut pas croire! Tout les jours j'ecris des conneries en anglais. De temps en temps, je vais en cour! Je passe beaucoup de temps a ruminer et a me morfondre aussi. J'ai des conversations super poussées sur les claviers AZERTY ou QWERTY!

Non, mais vraiment ma vie est trepidante!

Oh! Faut que je reponde a Lou, aussi!

2ème partie :

Et voilà, ça fait maintenant trois jours que je suis ici, dans un village de petit nuage tout blanc, avec plein d'autres enfants gentils. Il y en a même un qui s'appelle Phileas, c'est rigolo, parce-que mon pai aussi, il s'appelait comme ça, alors moi je l'appelle Phily, c'est bien plus drôle. Et lui, il m'appelle Yeo, parce-qu'il n'a pas appris à dire Léonard dans son école. Ici, il n'y a même pas la télévision, alros des fois avec Phily, on va regarder "Midi les zouzou" quand il n'y a personne chez moi, parce-que mes parents ne comprendraient pas comment la télé s'allume toute seule. La plupart des gens disent qu'ils ont peur de la mort, avec Phily, on trouve ça plutôt marrant.
On peut faire tout ce que l'on veut, et dans le village de petit nuage tout blanc, on n'est pas obligé de se brosser les dents avant de dormir, et puis, on n'est même pas obligé de dormir la nuit si on n'a pas sommeil. Mais il y a des choses beaucoup moins drôles. Je n'aime pas voir ma maman pleurer, elle pleure tout le temps, et tellement qu'elle ne peut plus aller travailler. J'entends souvent papa dire qu'elle est "déprimée", ça doit être la maladie des larmes. A cause de ça, elle ne peut voir personne, ni même s'occuper d'Inès. Phily dit que c'est à cause de la contagion. Il le sait, parce-que quand il a eu la varicelle, c'était pareil, ses boutons étaient contagieux. Alors pour ma maman, c'est pareil sauf que ce sont les larmes qui sont contagieuses.
La maladie de maman nous a empêchés d'aller regarder les dessins animés, et Phily dit qu'on ne peut pas aller chez lui à cause de son papa qui est toujours à la maison à cause de sa bouteille. La bouteille, c'est encore une maladie des parents. Du coup, il a fallu qu'on trouve un moyen de regarder les dessins animés, au moins ceux de midi. On a dond demandé à d'autres enfants du village qui ne pouvaient pas aller dans leurs maisons pour regarder la télé, et c'est Lynette qui nous a parlé du "Pays des Télés". Cet endroit est merveilleux, il y a plein de télés partout, et en plus, on peut tout regarder, même les films d'horreur. En plus, dans le pays des télés, il y a même des gens qui viennent faire leurs courses, et c'est là que Phily a revu sa mamie Georgette, c'est comme ça qu'il l'appelait ; mais il ne l'a jamais vraiment aimée, alors on n'a pas pu regarder la fin du film. Phily n'aime pas beaucoup parler de sa vie, tout ce que je sais, c'est que, s'il est venu habiter ici, c'est à cause de la maladie de son papa. Je pense qu'il a dû l'attraper à cause de la contagion, mais quand je lui demande, il ne répond pas. A vrai dire, il ne parle pas beaucoup, et pas très bien d'ailleurs, pourtant, il est plus grand que moi. Par contre, il connait plein de choses d'adultes. C'est même lui qui m'a dit que c'était les hommes en bleu qui allaient s'occuper de trouver la personne qui m'avait envoyé ici. Pour moi, cela n'avait aucune importance, je savais très bien ce qui s'était passé, et que ce n'était la faute de personne. Quand je lui ai dit ça, Phily a eu une chouette idée, il a toujours de chouettes idées Phily. Il m'a emené là où tous ces messieurs travaillent. Il sait où c'est, parce-qu'avant qu'il monte sur son petit nuage tout blanc, il y allait souvent avecl'assistante sociale, pour récupérer son papa qui avait fait de mauvaises choses à cause de sa maladie de la bouteille.

AAAAAAAAAAAAWWWWWWWWWWWW
PHILY!!!

Pov' Bout-chou!

Encore
AAAAAAAAAAAAAWWWWWWWWWW

3ème partie :

Quand on est rentré dans le poulailler (c'est le papa de Phily qui disait ça, mais moi je ne comprends pas, parce-qu'il y a ni poules, ni poulets, que des messieurs en bleu) j'ai eu un peu peur, parce-qu'il y avait beaucoup de monde dans un petit espace : mais Phily m'a rassuré en me disant qu'on ne risquait rien, parce que les vivants ne peuvent pas nous sentir. On a attendu toute la journée, mais mon papa n'est jamais venu. Tout ça m'a rendu un peu triste, alors je suis parti voir ma maman, Phily m'a accompagné. Et là, à notre grande surprise, les messieurs en bleu du poulailler étaient avec mon papa. Je ne comprenais pas très bien ce qu'ils disaients, mais j'ai entendu un des messieurs en bleu dire que je n'avais pas pu me jeter par la fenêtre de ma propre volonté, parce-qu'à cinq ans on n'a pas envie de mourrir. Je ne comprenais pas trop ce que ça voulait dire, alors j'ai demandé à Phily. Il m'a expliqué que, des fois, quand les adultes ont la maladie des larmes, il n'y a pas de médicaments assez puissants pour les soigner et qu'ils sont obligés de rejoindre leur nuage. Je me suis dit que peut-être que si ça arrivait à ma maman, elle pourrait venir me rejoindre. J'aurais été content, mais ce n'était pas une bonne idée, parce qu'après, Inès et mon papa seraient très tristes.

Phily comme d'habitude était d'accord avec moi, mais Lynette disait que ce n'était pas tout le temps vrai, que quand elle, elle était venue dans le village, personne n'avait été triste. J'aimais beaucoup Lynette, elle était toujours très gentille avec moi, et puis, elle était très joli aussi, mais elle ne parlait pas beaucoup. Les autres enfants disaient qu'elle cachait un secret et que c'était pour ça qu'elle faisait des mystères. Phily a essayé de m'expliquer, mais je n'ai pas très bien compris. Mais pour l'instant, ce n'était pas notre problème.

J'ai corrigé! T'avais fait une répétition malencontreuse!

Tu sais quoi?
Hitler avait qu'un testicule!

HEY! J'ai repondu! Tu peux pas dire le contraire!!!!

C'est toujours joli! =)

4ème partie :

Pour l'instant, avec Phily, on avait décidé d'empécher les policiers (c'est comme ça qu'on appelle les messieurs en bleu) de trouver qui m'avait envoyer ici. Alors on est retourné chez moi, et ils étaient encore là, en train de parler avec mon papa qui avait l'air très en colère, comme la fois où Ines m'avait fait glisser dans la baignoire et que mon poignet s'était cassé. Et puis il y avait aussi Kathy, elle pleurait, et disait que ce n'était pas de sa faute, qu'elle n'avait pas fait exprès. A ce moment, une boule se forma dans ma gorge, et l'envie de pleurer vint tout à coup, mais les larmes ne coulaient pas, c'était terrible ! Kathy allait payer pour quelque chose qu'elle n'avait pas fait. C'était ma faute, j'étais monté sur la table, et elle avait voulu me faire redescendre, mais je n'avais pas écouté, et j'étais tombé par la fenêtre. Alors mon nuage était venu me chercher... C'était horrible, je voulais crier, taper, pleurer... Mais aucun son ne sortait. Quand on est mort pour de bon, on ne pleure plus. A cet instant, j'étais un adulte, j'avais pris dix, vingt, trente ans d'un coup. Je n'étais plus quelque part entre la vie et la mort, dans ce petit village de nuage tout blanc, j'étais réellement mort, et j'en prenais conscience.

A cet instant merveilleus, je vis une personne, une personne que j'aimais énormément, mais qui me rendait fou de curiosité : Lynette. Elle se mit debout sur son petit nuage, et vint me rejoindre sur le mien, elle me pris dans ses bras et me murmura à l'oreille un récit extraordinaire. Lynette avait six ans quand son petit nuage est venu la chercher, elle était seule sur la route, elle s'était échappée de l'orphelinat où elle vivait pour retrouver ses parents, parce-qu'elle savait qu'elle était malade et que si venait le jour où elle devait partie, il n'y aurait personne pour être triste pour elle. Mais elle était petite et très fragile, alors le froid, la nuit, la peut, et la voiture qui roulait trop vite l'ont poussée sur son nuage... Mais personne ne s'est soucié de sa mort, personne n'avait jamais aimé Lynette... à part moi... Elle ne pleurait plus, elle avait réussi, elle m'avait confié son mystère, je venais de comprendre. Tout d'un coup, tout s'illumina, et nos petits nuages tout blanc disparurent, on pouvait voler.

(c'est presque la fin !)

Moi je vais penser à Lynette!

C'etait joli encore!
SAUF!
Ce truc là en bas! J'ai pas compris qu'est ce que "(c'est presque la fin !)" venait faire dans l'histoire!
Je veux dire ca n'a aucun sens!
Vraiment!!
Ton cerveau débloque ma pauvre Cunégonde!




MWAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH

Gné !
En gros, si tu veux tout savoir, il ne reste plus qu'un chapitre et c'est la fiiiiiiiiinnnnn.
Et puis, c'est pas nouveau tu sais, mon cerveau a toujours débloqué...
Mais, comme on le dis si bien, qui se ressemble s'assemblent, hein Germaine ?!

Enfin on dit aussi que les contraires s'attirent!

OK!
J'attends donc la suite!

FIN :

Avec Lynette, on devait quitter le village, mais avant, il fallait que j'aide Phily à ne plus pleurer. Alors on a été dans la maison de Phily. C'était rigolo, parce-que moi je n'avais plus besoin de nuage, je volais tout seul. Phily était un peu jaloux, mais au moins ça l'a poussé à aller voir son papa. Quand on est entré dans la maison, tout les meubles étaient partis. Phily ne savait plus comment faire, et pour une fois, c'est moi qui lui ai donné un conseil ; je lui ai dit que peut-être que la maladie de la bouteille de son papa avait été tellement forte qu'elle l'avait fait mourrir. Il n'était pas content du tout, et il a filé à toute vitesse dans un endroit que je connaissais bien, parce-que c'est là qu'on avait déposé mon corps. On s'arrêta devant une petite pierre, où il y avait écrit Pliléas Forestier-1995_2003- et à côté, il y avait écrit Gérard Philéas Forestier-1960_2005-. J'avais raison, son papa était mort. Phily me dévisageait d'un drôle d'air, et tout à coup, un flot de parôles continu sortit de sa bouche : "Mon papa, il n'ira pas dans le village de petit nuage blanc, il restera ici, sous la terre, parce-que c'est ç cause de lui que je suis ici, c'est lui qui a pris la bouteille et qui l'a jetée sur ma tête, il n'avait pas le droit de faire ça, on ne fait pas ça quand on aime son fils." Et là, son petit nuage tout blanc disparut, et Phily se mit à voler dans tout les sens. Il était mort pour de bon, mais il était heureux.

Aujourd'hui on vole tous les trois, avac Lynette bien sûr, partout, tout le temps, on a même une petite maison dans le ciel, avec d'autres anges ; nous sommes des anges, parce-que nous sommes heureux. Phily dit que les gens qui sont tristes de mourir ne peuvent pas devenir des anges, ils sont obligés d'errer entre la vie et la mort. Alors si quelqu'un vous demande, "C'est comment quand on meurt?", il faut lui répondre : "C'est merveilleux!".

Didou!

Je dirai que c'est merveilleux! Promis

Hihi !

Comme ça on pourra voler toute les deux tranquillement dans le ciel, sans avoir de petit nuage tout blanc !!!
Quelle bonheur n'est-ce pas ?!

Didou Didou Chou !

Uiiii! Avec nos nuages, on volera dans le ciel et on jettera des pierres au gens qu'on aime pas....... euh..... ??
(NICKY S. ATTENTION A TOI! quand on sera morte, ca sera ta fete! XD)

C'est qui cette étrange inconnue qui se glisse dans notre conversation ???

Personne...

Hihi!